Disponibilité : Disponible

En recherche : Je suis en recherche active

Apport personnel

de 20 000 à 30 000 €

Apport complémentaire

-

Secteurs d'activité

Vêtements - Chaussures | Librairie - Presse | Jeux et jouets | Loisirs créatifs et éducatifs | Décoration

Secteurs géographiques

Hauts-de-France | Somme

Compétences

0
1
2
3
4
0
1
2
3
4
0
1
2
3
4
0
1
2
3
4
0
1
2
3
4
0
1
2
3
4

Langues

Autres compétences

Relationnel Travail d'équipe Bureautique Relation Client Créatif

Parcours professionnel

Mon parcours professionnel est fait de réussite mais aussi d'échecs, bien que ceci mon toujours servie de leçon pour avancer aux prochaines étapes de mon parcours. Tels Santiago dans l'Alchimiste, je suis en train d'écrire ma légende personnelle. Fils et petit-fils d'artisans maçon, j'ai commencé ma carrière dans les métiers du bâtiment ; ce qui fût une erreur d'avoir voulu perpétuer la tradition familiale, en effet après mûre réflexion je n'ai jamais hérité du talent manuel des membres de ma famille qui on effectuer ce beau métier. Ceci ne m’a pas empêché de valider les diplômes de maçon et de plâtrier-plaquiste, qui me seront toujours utile ne serait-ce par les connaissances acquises.

 A contrario je me suis rendu compte que ce qui me définit ce sont mes talents intellectuels, cela à engendrer un passage à vide que j'ai décidé de combler par une mission de service civique effectuer auprès de la fédération de pêche de la Somme et cela ma mener à une première remise en question. Alors âgé de 22 ans, je prends la décision de reprendre mes études dans les métiers du commerce, j'effectue un titre employé commerciale en magasin puis j'enchaîne sur un titre vendeur conseil, à la validation de ceci, je ressens deux sentiments. Concernant le premier, j'ai la conviction que je suis sur le point de trouver ma voix, pour le second, je me dis : " tu as atteint le niveau BAC mais dans ce domaine ce ne sera pas suffisant, tu dois approfondir tes connaissances", cette réflexion me convint d'enchaîner sur la validation d'un diplôme d'état. Je m'oriente tout d'abord vers un BTS négociation relation client en alternance, puis je me rends compte que j'ai une préférence pour la vente en magasin, que je ne suis également pas fait pour l'itinérance si je puis dire. Je demande donc la possibilité d'être réorienter vers le BTS management de l'unité commerciale. Cette demande me sera accordée et sera concluante, je valide mon diplôme et définitivement mon plan de carrière. Je m'épanouie dans le domaine de la vente. 

A ce moment de mon parcours, nous sommes en 2018, j'ai 26 ans et j'enchaîne les succès, et pourtant, j'entame bientôt ma seconde remise en question. L'entreprise qui m’a accueillie en alternance et qui est toujours la mienne actuellement me parle avenir, je précise que celle -ci a toujours été bienveillante et ma transmit des compétences certaines. On me parle donc d'embauche pour donner suite au prochain départ en retraite d'un collègue, ce départ est programmé dans 1 an. C'est là que je commets une double erreur, mais qui me servira de nouvelle leçon pour l'avenir. En cette période de fin d'étude, je suis déjà depuis plusieurs mois en réflexion sur mon devenir professionnel, doit-je faire carrière dans ce groupe avec qui j'ai pris plaisir à me former, ou doit-je le faire dans une autre enseigne qui m'apportera incontestablement d'autres aspect du métier, doit-je plutôt apporter mes compétences et en assimilés bien d'autres dans de multiples entreprises tout au long de ma carrière ou la dernière option qui me viens en tête, puis-je devenir entrepreneur ? 

N'ayant à ce moment pas encore acquis la maturité nécessaire pour choisir la dernière option citée, étant en très bonne relation avec mon équipe et témoignant de la reconnaissance pour l'accompagnement fournit dans mes études. Je prends la décision d'effectuer une licence économie, droit, gestion, option marketing afin de patienter jusqu'au départ du collègue et de signer le CDI. Ce fût cette double mauvaise décision qui mis un frein à mon développement personnel, cependant je tiens à nuancer mon propos par rapport à la réflexion que ma mener à effectuer ces décisions mais j'y reviendrai. Une fois cette nouvelle année d'étude entamer rien ne va se passer comme je l'imaginer, je passe une année en constante réflexion sur ma situation et en constante remise en question. Quelque chose ne va pas, la perspective du CDI ne me réjouit pas comme ça devrait être le cas pour bon nombre de personnes et bizarrement je ne suis pas autant investi dans cette licence que lors du passage du BTS. Malgré une bonne assimilation de ce que l'on ma enseigner pendant cette année, je ne parviens pas à valider cette licence. J'ai alors entamé une analyse de la cause de ce premier échec, et je suis parvenu à la conclusion que celui-ci est le résultat des tracas qui à causer le second. La crainte des inconvénients du CDI sur le développement personnel ma fait passer à coter de mon année de licence. J'ai en quelque sorte griller les étapes, je me suis projeté 1 an trop loin alors que le temps été à la concentration sur cette ultime année d'enseignement. 

Nous passons donc sur le second échec qui est aujourd'hui devenu l'ultime leçon de plusieurs années de remise en question et de réflexion ; la signature du CDI. Ce graal tant désirer par nombre de personne qui m'entoure dont moi-même il fût un temps, est devenu à mes yeux un obstacle à la progression professionnel et à l'épanouissement personnel. Celui-ci nous fait entrer dans une monotonie qui nous mène rapidement à la lassitude quand les initiatives et les perspectives d'évolutions ne sont pas au rendez-vous, voir bridés. Cette vie qui consiste à accepter un quotidien routinier, celui de travailler toujours au même endroit pour nourrir la famille avec un salaire qui ne bougera pas énormément sur une dizaine d'année d'entreprise, sans ambition, sans envie d'évoluer, sans envie de constamment apprendre et surtout sans transmission de la connaissance n'est pas ce dont à quoi j'aspire. Bien que je ne dénigre pas ce choix que font la plupart des gens, nul n'a besoin de juger son prochain.

 Je cite précédemment, le terme d'échec qui pour moi n'est pas péjoratif, d'où mon intérêt d'insister sur la nuance de mes propos plus haut, l'expérience, les remises en question, la précédente conclusion, me fond dire que celui-ci permet de stimuler les capacités d'une personne dans la perspective d'avancer vers un avenir plein de réussite. Si je pousse ma pensée plus loin, j'en viens à dire que l'échec est complémentaire et indissociable de la réussite, car la réussite sans difficulté, sans échec ne permet nullement la remise en question, le développement personnels ainsi que le développement de la compétence. Je terminerai pour cette pensée que nul ne peut innover sans échouer. Cela me mène une fois de plus à la réflexion suivante ; Ce métier que j'aime temps, que je prends plaisirs à découvrir chaque jour, je dois pouvoir le pratiquer et le transmettre par le biais de l'entreprenariat. Je vais citer Schumpeter, « le caractère cyclique de l'économie ne provient ni des transformations sociales, ni des évolutions démographiques, ni des variations de la monnaie. Il trouve son origine dans l'innovation. » « L'entrepreneur est au cœur de l'analyse. Un entrepreneur est un innovateur, c'est à dire quelqu'un qui brise la routine. Il faut donc savoir innover ce qui n'est pas le cas de tous les producteurs. Une innovation, c'est l'application industrielle et commerciale d'une innovation. » 

Pourquoi ces citations me diriez-vous, cette rétrospective de carrière m’a mené à me connaître plus en profondeur, à l’heure où j’écris ces lignes je suis une personne qui est en harmonie avec soi-même, j’ai appris à me connaitre et cela me permet de définir qui j’ai été, et qui je suis aujourd’hui. Par conséquent l’entreprenariat sera pour moi le moyen d’exprimer ma créativité, de mettre à contribution mon esprit d’analyse ainsi que mon dynamisme. Ma participation à la vie associative me permet d’ajouter la capacité de fédérer autour d’un projet, et le sens du relationnel aux compétences précédemment citées. Tous cela me mène à penser que ce sont des compétences clés pour pouvoir innover selon la vision de Schumpeter. 

Pour conclure cette présentation, pourquoi s’intéresser à la franchise ?

 Malgré les inconvénient comme la liberté du chef d’entreprise qui est réduite sur le plan stratégique et opérationnel, que sa créativité est limitée, les droits d’entrée des franchises performantes sont souvent très élevés, et les conditions sont drastiques (obligation d’avoir identifié un emplacement bien situé, ou d’avoir un apport personnel minimum), que certains franchiseurs imposent des minimums de chiffre d’affaires ou d’autres critères qui peuvent mettre le franchisé sous pression, l’obligation d’obtenir l’accord du franchiseur en cas de revente de l’entreprise, ou encore le fait que tous les réseaux de franchise ne sont pas performants, il y a cependant de nombreux avantages à franchir le pas. Parmi ceux-ci le fait de tirer parti de l‘image du franchiseur : visibilité et notoriété de l’enseigne, de bénéficier de la mutualisation des moyens et des coûts : un réseau organisé en centrale d’achat obtiendra des coûts de revient plus faibles, le bénéfice du savoir-faire du franchiseur en matière de marketing, merchandising et techniques de vente, le bénéfice des formations et du coaching offerts par le franchiseur, celui de l’historique du réseau et du retour d’expérience des autres franchisés : cela permet de gagner beaucoup de temps, ou encore celui de la zone d’exclusivité, et pour finir être entouré : faire partie d’un réseau de franchise permet de travailler en équipe, avec le franchiseur et les autres franchisés. En théorie, intégrer un réseau de franchise permet donc de réduire les risques de la création de l’entreprise : l’expérience et l’accompagnement du franchiseur constituent un atout majeur pour baliser les étapes et réussir son lancement. 

Ce fût pour moi un exercice très enrichissant et agréable à produire que cette rétrospective professionnelle et c’est pour cela que ci mon profil vient à vous plaire pour une potentiel collaboration je serais ravie de convenir d’un premier rendez-vous avec vous. Je terminerai celle-ci par une citation de Steve Jobs : « Ne jamais renoncer, ne jamais faire semblant, ne jamais rester immobile, ne jamais s’accrocher au passé, ne jamais arrêter de rêver. » 

Masse Kévin.

Motivation